Seule Songtext
von Isabelle Adjani
Seule Songtext
On a beau parader et sourire
Parler de tout pour ne rien dire
Ce n′est que s'livrer en pâture
À des gens qui croient vous séduire
Bien sûr, on attire les regards
On à pour vous tous les égards
On vous invente des aventures
Puis, on s′étonne de vous savoir
Seule, on l'est partout et toujours
Seule, des gens vous aiment, vous entourent
On s'retrouve pour la nuit, toujours
Seule, avec un trop-plein d′amour
Que l′on donne à une personne
Une seule, mais qui au petit jour
Vous abandonne
Vous abandonne
Sous mon lit, alone
Vous abandonne
Le paradis m'a été promis à la naissance
Par l′Église catholique, mais, dès dix ans
Qu'est-ce que c′monde m'a légué?
Des horreurs cathodiques, alors, j′ai appris à aimer
Sans artifices ni carapace, entre douceur et violence
Risquant ma vie chaque fois que j'rentrais à ma case
Comme si cent mille démons revenaient ensemble à la charge
La récompense de mes sourires a été d'voir mon amitié jetée à la casse
Les fleurs de mon jardin, toutes ensevelies par les dunes
Et le désert sentimental avance, chevauché ardemment par les thunes
Si seulement j′avais eu ton épaule quand l′air a éraflé mon écorce
J'serais pas là, victime des conséquences
Rien à foutre des causes, on n′parle pas d'compétences
Mais de c′qui germe sur les bancs de l'école
Comprends ma position et l′origine du poison léthal dans mes proses
On n'peut plus refaire les choses, la vie prend mes sourcils et les fronce
Le destin m'a poussé dans les fosses, j′survis avec des pierres et des frondes
Des fois, entre la tempe et l′amorce, le moral à deux doigts de la tombe
Seule ta patience m'a donné la force
Dans mes jours embrouillés d′humeur sombre
J'ai trempé mon vécu dans l′essence, 15 ans entre l'allumette et les centres
Des frères de galère, le cœur plein de haine
Voulaient maintenant me descendre
Ironie du sort pour un mec qui a fait ses classes dans les bandes
Je m′suis retrouvé seul avec juste le mur dans mon dos pour me défendre
Parfois, debout sur la scène, mes yeux parcouraient la salle pleine
Dans mon cœur, j'sentais le vide
Alors que tous ignoraient l'ampleur de ma peine
Les sueurs, torses compressés, les vertiges, fruits des angoisses et des gènes
D′abord vulgaire caillou dans mes semelles
La solitude est devenue ma gemme
Le personnage m′a rattrapé, ensuite a asséché ma sève
Dans cette confusion malsaine, seuls tes yeux ont vu ce sang sur mes lèvres
Non pas tristement célèbre, simplement jeune, triste et célèbre
On croit échapper à l'enfer
En embarquant dans cet ascenseur qui s′élève ('lève, ′lève, 'lève...)
Seule, on l′est partout et toujours
Seule, les gens vous aiment, vous entourent
Vous entourent
Seule, on l'est partout (on l'est partout) et toujours (et toujours)
Des gens vous aiment, vous entourent
Seule, on l′est partout et toujours
Seule, seule, seule, seule, seule, seule, seule, seule, seule, seule
Parler de tout pour ne rien dire
Ce n′est que s'livrer en pâture
À des gens qui croient vous séduire
Bien sûr, on attire les regards
On à pour vous tous les égards
On vous invente des aventures
Puis, on s′étonne de vous savoir
Seule, on l'est partout et toujours
Seule, des gens vous aiment, vous entourent
On s'retrouve pour la nuit, toujours
Seule, avec un trop-plein d′amour
Que l′on donne à une personne
Une seule, mais qui au petit jour
Vous abandonne
Vous abandonne
Sous mon lit, alone
Vous abandonne
Le paradis m'a été promis à la naissance
Par l′Église catholique, mais, dès dix ans
Qu'est-ce que c′monde m'a légué?
Des horreurs cathodiques, alors, j′ai appris à aimer
Sans artifices ni carapace, entre douceur et violence
Risquant ma vie chaque fois que j'rentrais à ma case
Comme si cent mille démons revenaient ensemble à la charge
La récompense de mes sourires a été d'voir mon amitié jetée à la casse
Les fleurs de mon jardin, toutes ensevelies par les dunes
Et le désert sentimental avance, chevauché ardemment par les thunes
Si seulement j′avais eu ton épaule quand l′air a éraflé mon écorce
J'serais pas là, victime des conséquences
Rien à foutre des causes, on n′parle pas d'compétences
Mais de c′qui germe sur les bancs de l'école
Comprends ma position et l′origine du poison léthal dans mes proses
On n'peut plus refaire les choses, la vie prend mes sourcils et les fronce
Le destin m'a poussé dans les fosses, j′survis avec des pierres et des frondes
Des fois, entre la tempe et l′amorce, le moral à deux doigts de la tombe
Seule ta patience m'a donné la force
Dans mes jours embrouillés d′humeur sombre
J'ai trempé mon vécu dans l′essence, 15 ans entre l'allumette et les centres
Des frères de galère, le cœur plein de haine
Voulaient maintenant me descendre
Ironie du sort pour un mec qui a fait ses classes dans les bandes
Je m′suis retrouvé seul avec juste le mur dans mon dos pour me défendre
Parfois, debout sur la scène, mes yeux parcouraient la salle pleine
Dans mon cœur, j'sentais le vide
Alors que tous ignoraient l'ampleur de ma peine
Les sueurs, torses compressés, les vertiges, fruits des angoisses et des gènes
D′abord vulgaire caillou dans mes semelles
La solitude est devenue ma gemme
Le personnage m′a rattrapé, ensuite a asséché ma sève
Dans cette confusion malsaine, seuls tes yeux ont vu ce sang sur mes lèvres
Non pas tristement célèbre, simplement jeune, triste et célèbre
On croit échapper à l'enfer
En embarquant dans cet ascenseur qui s′élève ('lève, ′lève, 'lève...)
Seule, on l′est partout et toujours
Seule, les gens vous aiment, vous entourent
Vous entourent
Seule, on l'est partout (on l'est partout) et toujours (et toujours)
Des gens vous aiment, vous entourent
Seule, on l′est partout et toujours
Seule, seule, seule, seule, seule, seule, seule, seule, seule, seule
Writer(s): Philippe Tristan Fragione, Lionel Florence, Pascal Obispo Lyrics powered by www.musixmatch.com